Notre cabinet a une forte expérience dans le domaine d'enlèvement international d'enfants. En Argentine, nous avons obtenu beaucoup de retours d'enfants aux pays où ils demeuraient avant d´avoir été kidnappés ou injustement retenus en Argentine. Nous avons aussi travaillé dans de cas avec nos confrères à l'étranger pour récupérer des enfants kidnappés dans d’autres pays. Nous avons eu de cas avec les États-Unis, la Chine, le Chili, l'Uruguay, le Paraguay, le Pérou, l’Equateur, le Brésil, la Colombie, l'Espagne, le Japon, le Canada, la Roumanie, l’Hongrie, l'Italie, la France, la Belgique, le Mexique, l'Angleterre, l'Allemagne, la Nouvelle-Zélande, la Rumanie, ainsi que d'autres pays. Dans certains cas, nous avons réussi à faire des accords pour les parents.
N'oubliez pas que même si dans la Convention de La Haye les États peuvent fournir une assistance juridique gratuite, votre représentation par un avocat d’expérience spécialisé dans ce domaine vous consacrera tout le temps nécessaire pour récupérer votre enfant. Si vous souhaitez récupérer votre enfant, ne perdez plus de temps. Lisez nos cas, notre expérience. Il est très important de savoir quoi faire et de le faire le plus rapidement possible. N'hésitez pas à nous contacter. Chaque jour perdu est déterminant.
L'Argentine ne respecte pas la Convention de La Haye de 1980. Les rapports du Département d’État des États Unis, indiquent que chaque année, le système judiciaire argentin est inopérant dans le domaine des enlèvements international d'enfants. La présence de femmes au bureau de la violence domestique « Oficina de Violencia Domestica » dans la ville de Buenos Aires et d'entités similaires dans les autres provinces, sans confirmer aucune preuve, conseillent de séparer le père des enfants sans explication valable, même si le père ne se trouve pas en Argentine. Vous pouvez être poursuivi par un Procureur et même pire, vous pouvez être condamné sans procès équitable, compte tenu de ce que la mère déclare, sans témoins, sans aucune évidence. Le système de justice argentin justifie cette poursuite contre les hommes parce que la Convention de Belen do Para, sûr le genre et la violence contre les femmes, indique que les preuves en matière pénale devraient être évaluées en dehors des règles usuelles.
Si vous êtes un homme, ce n'est qu'à cause de cette condition que vous vous retrouverez totalement défavorisé devant le système de justice argentin. Autrement dit, vous pouvez être condamné d'un crime mêmeen etant innocent. Le bureau du Procureur affecté aux crimes de genre et de violence de la juridiction pénale de la ville de Buenos Aires, accuse à tout homme, pour ce qu'une femme déclare. Une discrimination importante envers les hommes se produit à chaque fois.
Le procureur essaye également d'aider les femmes en cas d'enlèvement des enfants, en essayant de justifier pourquoi il vaut mieux de ne pas retourner l'enfant à l'État requérant. La Convention relative aux droits de l'enfant, ainsi que la Convention de La Haye sur kidnapping sont ignorées par ce bureau. Le système de justice argentin construit un « paradis des mères qui enlèvent ses enfants ». Si vos enfants vont en Argentine, vous avez sans aucun doute un risque élevé en Argentine de non-retour de vos enfants.
Nous ne pouvons pas changer le système de justice argentin. En revanche, nous pouvons vous donner la meilleure représentation pour récupérer votre enfant dans les plus brefs délais. Notre avis juridique serait de ne pas laisser vos enfants voyager en Argentine. Cependant, si c'est impossible, vous devez prendre toutes les précautions dans votre pays qui pourront vous aider si votre enfant est kidnappé ou illégalement retenu en Argentine. Si vos enfants sont déjà en Argentine et que la mère ne les retournera pas dans votre pays, vous devez maintenant vous battre pour sauver vos enfants de rester en Argentine. Contactez-nous avant de prendre une décision. Votre enfant pourrait rester pour toujours en Argentine.
Quelques affaires suivies par notre cabinet:
Nous avons obtenu un ordre de retour pour la France d'une fille détenue par sa mère en Argentine. La cour d'appel a confirmé la décision de retour, après l'appel de la mère. 2020. Nous avons représenté le père.
Nous avons représenté deux filles et nous avons veillé à ce qu'elles ne reviennent pas en Espagne comme l'avait ordonné la Cour suprême pour Quilmes 2021.
Nous avons représenté en Argentine un père argentin lors d'un processus de visite à Londres. Nous l'avons aidé afin d'avoir un contact avec son fils de 14 ans. L'ordonnance du tribunal a été rendu en 2020.
Un tribunal a ordonné l'emprisonnement d'une mère accusée d'enlèvement d’enfants en Argentine. Elle avait également désobéi une décision de justice de rentrer avec ses enfants en France. Le procès aura lieu en 2020. Nous avons représenté le père, Les enfants sont rentrés en France. 2019
Une ordonnance du tribunal a trouvé une mère possible coupable d'enlèvement d’enfant devant un tribunal pénal de Buenos Aires. La mère avait retenu sa fille en Équateur. Nous avons représenté le père en Argentine. 2020
Nous avons réussi à retourner deux enfants transportés par sa mère sans connaissance du père. Les enfants habitaient en France. La justice Argentine a imposé le retour des enfants en France. 2018.
La mère avait voyagé de Seattle à Buenos Aires avec son mari et un bébé. En arrivant, la mère avait déposé une plainte de violence contre le père en Argentine et avait décidé de ne pas retourner aux États-Unis. Nous avons déposé une demande de retour. La mère et la fille sont rentrées aux EEUU. Nous avons représenté le père. 2017
Nous avons réussi à nous opposer au retour au Canada en première instance. La décision a été infirmée en cour d'appel, toutes les opinions d'experts émises par le procureur et les avocats de l'État représentant l'enfant, avaient considéré qu'il ne s'agissait pas d'un cas de La Haye puisque le père avait vécu en Argentine pendant 18 ans, dont il avait consenti à rester en Argentine. La décision de la cour d’appel a considéré la nationalité de la famille, tous étaient canadiens et que les 18 mois qu’ils avaient vécu en Argentine n’étaient pas clairs du tout. Nous avons réglé un retour en toute sécurité au Canada. Nous avons représenté la mère. 2017
Nous avons obtenu le retour volontaire d'un enfant retenu par sa mère en Argentine, le père était en Italie. L'enfant avait un an. Aujourd'hui, la famille vit en Italie, la mère avait compris qu'elle devait rentrer avec l'enfant. Nous avons représenté le père. 2015
Nous avons obtenu le retour volontaire d'un enfant retenu par sa mère en Argentine, le père était en Italie. L'enfant avait un an. Aujourd'hui, la famille vit en Italie, la mère avait compris qu'elle devait rentrer avec l'enfant. Nous avons représenté le père. 2015 Nous avons réussi à la Cour Suprême Fédérale à ordonner l'exécution immédiate d'une décision concernant un garçon à Miami. Le tribunal de première instance n'avait pas l'intention de retourner l'enfant aux États-Unis. Nous avons représenté le père.2015.
Nous avons obtenu le retour d'un enfant en France, qui avait voyagé sans autorisation en Argentine. Nous avons représenté le père. 2014
Dans la justice nationale, nous avons acquis le retour d'un enfant en France. La mère avait voyagé sans autorisation en Argentine. Nous avons représenté le père. 2014.
Nous avons réussi avec nos confrères de San Rafael, Mendoza, à refuser le retour de deux frères en Allemagne, puisque le père avait déménagé en Argentine, et après presque un an, il voulait retourner en Allemagne. L'affaire a été classée. Nous avons représenté la mère. 2014.
Le père avait autorisé la mère à déménager en Argentine. Plus tard, le père dépose une demande de retour. Nous avons représenté la mère, nous avons signé un accord et l'enfant n'est pas retourné en Espagne. 2014. Nous avons représenté la mère.
Une mère voyage avec son fils handicapé en Roumanie lors d'un voyage et n'est jamais rentrée en Argentine. Nous avons représenté le père. Le père a déposé une demande de retour. Le père a ramené l'enfant de la Roumanie. 2013.
Nous avons accompli le retour de deux enfants au Brésil retenus en Argentine par leur mère. Marco Aurelio Gerace a travaillé sur l'affaire au Brésil. Nous avons représenté le père. 2013
La mère avait retenu sa fille illégalement en Argentine. Nous avons représenté le père et l'enfant retourné en Californie. 2013
Un tribunal de la famille de La Plata a ordonné le retour d'une fille au Chili retenue par sa mère en Argentine. Lors d'une session organisée à la Cour d'appel de La Plata, les deux parties sont parvenues à un accord grâce aux efforts des juges. Nous avons représenté le père. 2013.
Nous avons représenté le père dans une affaire de La Haye, le pays demandeur était les États-Unis. Nous avons fait valoir l'art. 13 b) et la mère a renoncé à sa pétition. 2012 Tribunal de Mendoza..
Nous avons aidé un père argentin dans une affaire d'enfant en Roumanie. L'enfant a été enlevée par sa mère, car ils vivent ensemble à Chypre. Le père travaillait pour les Nations Unies. Nous avons assisté le père de la CEDH car la Roumanie n'a pas renvoyé l'enfant en Argentine. 2012.
Avec notre collège Pablo Bohrquez Salamanque qui représentait le père en Colombie, nous avons fait retourner une fille à Mendoza. L´enfant avait été retenu en Colombie. Nous avons également obtenu un article 15 de la Convention de La Haye. Nous avons représenté le père.
Dans l'affaire AF11598616 du tribunal présidé par l'honorable juge Alice Vilardi, de Californie, il a été ordonné le retour d'un enfant en Argentine. Le garçon de deux ans est né en Argentine et est parti en vacances avec ses parents, tous deux citoyens américains. Notre équipe a représenté le père dans le processus d'obtention de l'article 15 en Argentine et en Californie, l'affaire a été portée et gagnée par B J Fadem. 2012
Nous avons représenté un père anglais pour avoir une visite internationale de son enfant vivant à Buenos Aires. Nous sommes arrivés à un bon accord entre les parents. Voyage de l' enfant à Londres 2012.
Une décision a obligé le retour d'un garçon de 11 ans en Espagne. La mère avait décidé de ne pas renvoyer son fils en Espagne. Elle avait une autorisation de voyage pour une durée limitée seulement. Nous avons représenté le père. 2011.
l’enfant. La mère voyage du Mexique aux EEUU, et elle a été arrêtée et sa fille placée dans un centre de détention. Le père a ensuite demandé le retour de sa fille par l'intermédiaire d'un juge américain. La requête a été rejetée à nouveau car il est impossible de revenir sur une affaire qui avait déjà fait l'objet d'une décision au Mexique. Le procès a eu lieu devant le tribunal du Colorado, dans l'affaire Broda v Abarca, 2011 WL 900983 (D.Colo.) Cette affaire a été portée par et gagnée par Caroline Langley. 2011. Nous avons travaillé pour aider la défense de la mère.
La mère habitait avec sa fille en Espagne part vivre en Argentine avec l'enfant. Le père dépose une requête de visites internationales. Le père n'avait jamais payé de pension alimentaire pendant que la fille était en Argentine. Le père a demandé plusieurs audiences, mais n'avait jamais comparu. Le droit aux visites internationales fut refusé. État requérant : Espagne. 2010. Nous avons représenté la mère
Un couple marié vivait en Californie. Le mari était américain et la femme avait la nationalité argentine. Ils s'étaient mariés à Las Vegas. Leur fille de 3 ans avait été retenue par la mère en Argentine, le père avait autorisé le voyage seulement pendant six semaines à Buenos Aires. La mère avait décidé de rester et de vivre en Argentine. Un juge de première instance avait décidé que la fille ne devait pas retourner en EEUU. Un appel a été déposé. La Cour d’appel a annulé la décision et a ordonné le retour de l'enfant. 2009. Nous avons représenté le père.
L'affaire concernait une fille autiste qui avait vécu toute sa vie en Argentine. La mère voyage avec sa fille au Pérou, elle n'avait qu'une autorisation de voyage. La mère décide qu'elle n'allait pas retourner en Argentine. La mère fut retrouvée par l’Interpol. En première et seconde instance, les tribunaux ont obligé le retour en Argentine. Nous avons représenté le père. 2008.
Les parents argentins vivaient en France. Après un an, leur fille est née à Paris. Pendant ce temps, le père a été transféré au Brésil par sa société mais finalement destiné à se rendre en Espagne. La mère voyage en Argentine avec sa fille. Le père dépose une demande de retour pour d'Espagne. Notre équipe représentait la mère, et notre position était que la mère n'a jamais accepté d'aller en Espagne, seulement au Brésil. 2007. Les parents ont signé un bon accord; l'enfant n'est pas retourné en Espagne.
Les parents et un enfant vivaient en Argentine. Ils voyagent en Chine avec l'intention de rencontrer les grands-parents paternels de l'enfant. À son arrivée, le père a décidé de ne pas retourner en Argentine et de garder un passeport de l’enfant. La famille était restée en Chine pendant plus de deux ans. Le père était chinois mais avait perdu sa nationalité chinoise lorsqu'il a demandé et obtenu la nationalité argentine. La mère dépose une demande en Chine pour retourner en Argentine. Le tribunal chinois décide qu'il était incompétent car ils n'étaient pas citoyens chinois. Enfin, une requête a été déposée en Argentine. L'argument était que le tribunal chinois n'était pas compétent et que l'enfant avait un lien avec l'Argentine. Après une longue odyssée juridique et administrative en Argentine ainsi qu'en Chine, la Chine s'est conformée à la décision argentine et a autorisé l'enfant à quitter le pays. Il s'agit du premier cas où la Chine autorise un enfant à quitter la Chine sans avoir signé la Convention de La Haye. Nous avons représenté la mère. Read Press
Un enfant avait été illégalement caché dans un camion par son père pour traverser la frontière entre le Chile et l’Argentine. Le retour au Chili a été ordonné. Nous avons représenté la mère. Pour plus d'informations : Lire article 2005:click here
Le père n'a pas permis à son fils de retourner en Argentine après être parti en vacances au Chili avec sa mère. Son père habitait au Chili. Avec un collège chilien, nous avons représenté la mère et reçu l'autorisation pour l'enfant de retourner en Argentine. Read press
Nous avons représenté un père en Argentine pour un article 15 et devant un tribunal de Californie pour avoir une pétition à La Haye pour sa fille. Le tribunal a obligé le retour de la jeune fille en Argentine. 2007
Un juge de l'État du Texas a imposé qu'un enfant de moins de cinq ans devait retourner en Argentine. Son père avait été expulsé vers l'Argentine. La mère continue à vivre aux États-Unis avec un statut illégal. La police trouve l'enfant. La fille a été donnée en custode à Fabiana Quaini qui a voyagé avec l'enfant à Mendoza, car le père ne pouvait pas retourner aux États-Unis. Lire Article.
Deux enfants ont été illégalement retenus par leur mère brésilienne à Rio de Janeiro qui avait pris l'avion depuis Buenos Aires. Le retour a été ordonné en Argentine en 2004. Il a été signalé à la Commission Interaméricaine des Droits de l'Homme c. Brésil. Il y avait un mandat international contre la mère d'extradition. Elle a été arrêtée en Allemagne plus tard. Le Brésil ne respecte pas à la Convention de La Haye. Le tribunal brésilien a mis 12 ans pour arriver à une décision. L'enfant plus âgé avait déjà 16 ans et le plus jeune ne voulait pas retourner en Argentine. 2004. Nous avons représenté le père. Lire article.
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Enfants Kidnappés. Argentine
Notre cabinet a une forte expérience dans le domaine d'enlèvement international d'enfants. En Argentine, nous avons obtenu beaucoup de retours d'enfants aux pays où ils demeuraient avant d´avoir été kidnappés ou injustement retenus en Argentine. Nous avons aussi travaillé dans de cas avec nos confrères à l'étranger pour récupérer des enfants kidnappés dans d’autres pays. Nous avons eu de cas avec les États-Unis, la Chine, le Chili, l'Uruguay, le Paraguay, le Pérou, l’Equateur, le Brésil, la Colombie, l'Espagne, le Japon, le Canada, la Roumanie, l’Hongrie, l'Italie, la France, la Belgique, le Mexique, l'Angleterre, l'Allemagne, la Nouvelle-Zélande, la Rumanie, ainsi que d'autres pays. Dans certains cas, nous avons réussi à faire des accords pour les parents.
N'oubliez pas que même si dans la Convention de La Haye les États peuvent fournir une assistance juridique gratuite, votre représentation par un avocat d’expérience spécialisé dans ce domaine vous consacrera tout le temps nécessaire pour récupérer votre enfant. Si vous souhaitez récupérer votre enfant, ne perdez plus de temps. Lisez nos cas, notre expérience. Il est très important de savoir quoi faire et de le faire le plus rapidement possible. N'hésitez pas à nous contacter. Chaque jour perdu est déterminant.
L'Argentine ne respecte pas la Convention de La Haye de 1980. Les rapports du Département d’État des États Unis, indiquent que chaque année, le système judiciaire argentin est inopérant dans le domaine des enlèvements international d'enfants. La présence de femmes au bureau de la violence domestique « Oficina de Violencia Domestica » dans la ville de Buenos Aires et d'entités similaires dans les autres provinces, sans confirmer aucune preuve, conseillent de séparer le père des enfants sans explication valable, même si le père ne se trouve pas en Argentine. Vous pouvez être poursuivi par un Procureur et même pire, vous pouvez être condamné sans procès équitable, compte tenu de ce que la mère déclare, sans témoins, sans aucune évidence. Le système de justice argentin justifie cette poursuite contre les hommes parce que la Convention de Belen do Para, sûr le genre et la violence contre les femmes, indique que les preuves en matière pénale devraient être évaluées en dehors des règles usuelles.
Si vous êtes un homme, ce n'est qu'à cause de cette condition que vous vous retrouverez totalement défavorisé devant le système de justice argentin. Autrement dit, vous pouvez être condamné d'un crime mêmeen etant innocent. Le bureau du Procureur affecté aux crimes de genre et de violence de la juridiction pénale de la ville de Buenos Aires, accuse à tout homme, pour ce qu'une femme déclare. Une discrimination importante envers les hommes se produit à chaque fois.
Le procureur essaye également d'aider les femmes en cas d'enlèvement des enfants, en essayant de justifier pourquoi il vaut mieux de ne pas retourner l'enfant à l'État requérant. La Convention relative aux droits de l'enfant, ainsi que la Convention de La Haye sur kidnapping sont ignorées par ce bureau. Le système de justice argentin construit un « paradis des mères qui enlèvent ses enfants ». Si vos enfants vont en Argentine, vous avez sans aucun doute un risque élevé en Argentine de non-retour de vos enfants.
Nous ne pouvons pas changer le système de justice argentin. En revanche, nous pouvons vous donner la meilleure représentation pour récupérer votre enfant dans les plus brefs délais. Notre avis juridique serait de ne pas laisser vos enfants voyager en Argentine. Cependant, si c'est impossible, vous devez prendre toutes les précautions dans votre pays qui pourront vous aider si votre enfant est kidnappé ou illégalement retenu en Argentine. Si vos enfants sont déjà en Argentine et que la mère ne les retournera pas dans votre pays, vous devez maintenant vous battre pour sauver vos enfants de rester en Argentine. Contactez-nous avant de prendre une décision. Votre enfant pourrait rester pour toujours en Argentine.
Quelques affaires suivies par notre cabinet:
Nous avons obtenu un ordre de retour pour la France d'une fille détenue par sa mère en Argentine. La cour d'appel a confirmé la décision de retour, après l'appel de la mère. 2020. Nous avons représenté le père.
Nous avons représenté deux filles et nous avons veillé à ce qu'elles ne reviennent pas en Espagne comme l'avait ordonné la Cour suprême pour Quilmes 2021.
Une ordonnance du tribunal a trouvé une mère possible coupable d'enlèvement d’enfant devant un tribunal pénal de Buenos Aires. La mère avait retenu sa fille en Équateur. Nous avons représenté le père en Argentine. 2020
Nous avons réussi à retourner deux enfants transportés par sa mère sans connaissance du père. Les enfants habitaient en France. La justice Argentine a imposé le retour des enfants en France. 2018.
Après six ans et cinq mois, nous avons retourné deux filles à son père en Virginie aux États-Unis. Notre client avait été accusé d’abus sexuel de sa fille en Argentine. Un cas peut prendre des années en Argentine ; ceci fut l'un des cas les plus difficiles que nous ayons traités. La CIDH a également accepté notre demande. 15 mai 2017, Nous avons représenté le père See it in the news Voir Notes : Sobreseimiento en un caso de restitución internacional de menores. 29/5/2017. Restitución Internacional de niños a EEUU la nación 29/6/2017. Restitución internacional y abuso de la denuncia de abuso. Mayo 2017. Un caso de Restitución internacional de niños y falsas denuncias de abuso para no cumplir y restituir.
La mère avait voyagé de Seattle à Buenos Aires avec son mari et un bébé. En arrivant, la mère avait déposé une plainte de violence contre le père en Argentine et avait décidé de ne pas retourner aux États-Unis. Nous avons déposé une demande de retour. La mère et la fille sont rentrées aux EEUU. Nous avons représenté le père. 2017
Nous avons réussi à nous opposer au retour au Canada en première instance. La décision a été infirmée en cour d'appel, toutes les opinions d'experts émises par le procureur et les avocats de l'État représentant l'enfant, avaient considéré qu'il ne s'agissait pas d'un cas de La Haye puisque le père avait vécu en Argentine pendant 18 ans, dont il avait consenti à rester en Argentine. La décision de la cour d’appel a considéré la nationalité de la famille, tous étaient canadiens et que les 18 mois qu’ils avaient vécu en Argentine n’étaient pas clairs du tout. Nous avons réglé un retour en toute sécurité au Canada. Nous avons représenté la mère. 2017
Nous avons obtenu le retour volontaire d'un enfant retenu par sa mère en Argentine, le père était en Italie. L'enfant avait un an. Aujourd'hui, la famille vit en Italie, la mère avait compris qu'elle devait rentrer avec l'enfant. Nous avons représenté le père. 2015
Nous avons obtenu le retour volontaire d'un enfant retenu par sa mère en Argentine, le père était en Italie. L'enfant avait un an. Aujourd'hui, la famille vit en Italie, la mère avait compris qu'elle devait rentrer avec l'enfant. Nous avons représenté le père. 2015 Nous avons réussi à la Cour Suprême Fédérale à ordonner l'exécution immédiate d'une décision concernant un garçon à Miami. Le tribunal de première instance n'avait pas l'intention de retourner l'enfant aux États-Unis. Nous avons représenté le père.2015.
Dans la justice nationale, nous avons acquis le retour d'un enfant en France. La mère avait voyagé sans autorisation en Argentine. Nous avons représenté le père. 2014.
Nous avons réussi avec nos confrères de San Rafael, Mendoza, à refuser le retour de deux frères en Allemagne, puisque le père avait déménagé en Argentine, et après presque un an, il voulait retourner en Allemagne. L'affaire a été classée. Nous avons représenté la mère. 2014.
Le père avait autorisé la mère à déménager en Argentine. Plus tard, le père dépose une demande de retour. Nous avons représenté la mère, nous avons signé un accord et l'enfant n'est pas retourné en Espagne. 2014. Nous avons représenté la mère.
Une mère voyage avec son fils handicapé en Roumanie lors d'un voyage et n'est jamais rentrée en Argentine. Nous avons représenté le père. Le père a déposé une demande de retour. Le père a ramené l'enfant de la Roumanie. 2013.
Nous avons accompli le retour de deux enfants au Brésil retenus en Argentine par leur mère. Marco Aurelio Gerace a travaillé sur l'affaire au Brésil. Nous avons représenté le père. 2013
La mère avait retenu sa fille illégalement en Argentine. Nous avons représenté le père et l'enfant retourné en Californie. 2013
Un tribunal de la famille de La Plata a ordonné le retour d'une fille au Chili retenue par sa mère en Argentine. Lors d'une session organisée à la Cour d'appel de La Plata, les deux parties sont parvenues à un accord grâce aux efforts des juges. Nous avons représenté le père. 2013.
Nous avons représenté le père dans une affaire de La Haye, le pays demandeur était les États-Unis. Nous avons fait valoir l'art. 13 b) et la mère a renoncé à sa pétition. 2012 Tribunal de Mendoza..
Nous avons aidé un père argentin dans une affaire d'enfant en Roumanie. L'enfant a été enlevée par sa mère, car ils vivent ensemble à Chypre. Le père travaillait pour les Nations Unies. Nous avons assisté le père de la CEDH car la Roumanie n'a pas renvoyé l'enfant en Argentine. 2012.
Avec notre collège Pablo Bohrquez Salamanque qui représentait le père en Colombie, nous avons fait retourner une fille à Mendoza. L´enfant avait été retenu en Colombie. Nous avons également obtenu un article 15 de la Convention de La Haye. Nous avons représenté le père.
Une décision a obligé le retour d'un garçon de 11 ans en Espagne. La mère avait décidé de ne pas renvoyer son fils en Espagne. Elle avait une autorisation de voyage pour une durée limitée seulement. Nous avons représenté le père. 2011.
l’enfant. La mère voyage du Mexique aux EEUU, et elle a été arrêtée et sa fille placée dans un centre de détention. Le père a ensuite demandé le retour de sa fille par l'intermédiaire d'un juge américain. La requête a été rejetée à nouveau car il est impossible de revenir sur une affaire qui avait déjà fait l'objet d'une décision au Mexique. Le procès a eu lieu devant le tribunal du Colorado, dans l'affaire Broda v Abarca, 2011 WL 900983 (D.Colo.) Cette affaire a été portée par et gagnée par Caroline Langley. 2011. Nous avons travaillé pour aider la défense de la mère.
La mère habitait avec sa fille en Espagne part vivre en Argentine avec l'enfant. Le père dépose une requête de visites internationales. Le père n'avait jamais payé de pension alimentaire pendant que la fille était en Argentine. Le père a demandé plusieurs audiences, mais n'avait jamais comparu. Le droit aux visites internationales fut refusé. État requérant : Espagne. 2010. Nous avons représenté la mère
Un couple marié vivait en Californie. Le mari était américain et la femme avait la nationalité argentine. Ils s'étaient mariés à Las Vegas. Leur fille de 3 ans avait été retenue par la mère en Argentine, le père avait autorisé le voyage seulement pendant six semaines à Buenos Aires. La mère avait décidé de rester et de vivre en Argentine. Un juge de première instance avait décidé que la fille ne devait pas retourner en EEUU. Un appel a été déposé. La Cour d’appel a annulé la décision et a ordonné le retour de l'enfant. 2009. Nous avons représenté le père.
L'affaire concernait une fille autiste qui avait vécu toute sa vie en Argentine. La mère voyage avec sa fille au Pérou, elle n'avait qu'une autorisation de voyage. La mère décide qu'elle n'allait pas retourner en Argentine. La mère fut retrouvée par l’Interpol. En première et seconde instance, les tribunaux ont obligé le retour en Argentine. Nous avons représenté le père. 2008.
Les parents et un enfant vivaient en Argentine. Ils voyagent en Chine avec l'intention de rencontrer les grands-parents paternels de l'enfant. À son arrivée, le père a décidé de ne pas retourner en Argentine et de garder un passeport de l’enfant. La famille était restée en Chine pendant plus de deux ans. Le père était chinois mais avait perdu sa nationalité chinoise lorsqu'il a demandé et obtenu la nationalité argentine. La mère dépose une demande en Chine pour retourner en Argentine. Le tribunal chinois décide qu'il était incompétent car ils n'étaient pas citoyens chinois. Enfin, une requête a été déposée en Argentine. L'argument était que le tribunal chinois n'était pas compétent et que l'enfant avait un lien avec l'Argentine. Après une longue odyssée juridique et administrative en Argentine ainsi qu'en Chine, la Chine s'est conformée à la décision argentine et a autorisé l'enfant à quitter le pays. Il s'agit du premier cas où la Chine autorise un enfant à quitter la Chine sans avoir signé la Convention de La Haye. Nous avons représenté la mère. Read Press
Un enfant avait été illégalement caché dans un camion par son père pour traverser la frontière entre le Chile et l’Argentine. Le retour au Chili a été ordonné. Nous avons représenté la mère. Pour plus d'informations : Lire article 2005:click here
Le père n'a pas permis à son fils de retourner en Argentine après être parti en vacances au Chili avec sa mère. Son père habitait au Chili. Avec un collège chilien, nous avons représenté la mère et reçu l'autorisation pour l'enfant de retourner en Argentine. Read press
Un juge de l'État du Texas a imposé qu'un enfant de moins de cinq ans devait retourner en Argentine. Son père avait été expulsé vers l'Argentine. La mère continue à vivre aux États-Unis avec un statut illégal. La police trouve l'enfant. La fille a été donnée en custode à Fabiana Quaini qui a voyagé avec l'enfant à Mendoza, car le père ne pouvait pas retourner aux États-Unis. Lire Article.
Deux enfants ont été illégalement retenus par leur mère brésilienne à Rio de Janeiro qui avait pris l'avion depuis Buenos Aires. Le retour a été ordonné en Argentine en 2004. Il a été signalé à la Commission Interaméricaine des Droits de l'Homme c. Brésil. Il y avait un mandat international contre la mère d'extradition. Elle a été arrêtée en Allemagne plus tard. Le Brésil ne respecte pas à la Convention de La Haye. Le tribunal brésilien a mis 12 ans pour arriver à une décision. L'enfant plus âgé avait déjà 16 ans et le plus jeune ne voulait pas retourner en Argentine. 2004. Nous avons représenté le père. Lire article.
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